« Une de tes main quitta ma fesse pour aller le rejoindre mais… Je te poussa sur le lit et te dis d’attendre en me mettant au-dessus de toi. Je t’expliqua que ça allait être ton tour d’être provoquée, qu’ainsi nous serions sur un pied d’égalité. Je te promis de faire monter ton désir jusqu’à ce que tu me supplies de venir en toi… »
On se connaissait depuis quelques temps mais nous ne nous étions jamais vus. Impossible! La distance géographique et la distance de nos vies rendaient cela incompatible. Nous échangions des messages, des mots, des histoires et parfois des images qui faisaient bouillir notre imagination, nos sens et nos plaisir solitaires. Cela nous convenait ainsi! La frustration rajoutait même une liberté à notre folle communication.
Mais tu savais que pour une fois, je n’étais pas loin de toi. Le temps d’un déplacement loin de chez moi, je m’étais rapproché du tien. Et ta curiosité, sûrement celle de l’interdit et de l’impossible te tentait au plus haut point.
Tu te décidas à me dire de venir te rejoindre. Qu’une heure de voiture était mieux que plusieurs. Que c’était l’occasion ou jamais. Que tu en brûlais d’envie…
Je refusa plusieurs fois. Mais en bonne provocatrice, tu savais me tenter et me tendre! Tu n’avais qu’un objectif: me faire craquer.
Tu m’envoyas d’abord une photo en noir et blanc de toi entièrement nue assise sur une chaise, me disant que tu m’attendais et que tu étais prête. Jusque là rien d’inhabituel, ce n’était pas la première fois.
Viens ensuite la deuxième partie de ton plan. Tu commenças à prendre en photo chaque partie de ton corps dont nous pourrions profiter tous les deux si j’étais là.
“Regardes ces lèvres que tu pourrais embrasser”
“Mon cou que tu pourrais attraper”
“Mes seins que tu caresserais ou ce téton que tu prendrais entre tes lèvres”
“Mes fesses que tu saisirais”
“Mon ventre qui se frotterait au tien”
“Mes cuisses qui s’ouvriraient pour toi”
“Mon sexe que tu pourrais déguster”
J’en tremblais de désir. Je crois que ce qui m’acheva est la photo de tes doigts sur ton intimité où tu me dis que cela devrait être les miens…
Je te dis que je partais, tu me dis que tu m’attendrais comme tu étais et que tu me voulais aussi nu que toi à tes côtés.
…
Je finis par arriver. Tu m’ouvris toujours en tenue d’Eve. Nous nous embrassâmes comme si c’était le premier et le dernier baiser de nos vies, fou de désir.
Tu entrepris de me déshabiller. Tout y passa mon t-shirt, mon jean, mon boxer… Nous nous retrouvâmes nus, debouts, collés à s’embrasser. Tes mains sur mes fesses et les miennes partager entre ta nuque et ton dos. Tu sentais mon sexe déjà manifestement très heureux de te voir appuyer sur ton ventre. Une de tes main quitta ma fesse pour aller le rejoindre mais…
Je te poussa sur le lit et te dis d’attendre en me mettant au-dessus de toi. Tu avais bien joué ton rôle de provocatrice, pendant l’heure de route jusqu’à toi mon cerveau était en feu. J’avais tout imaginé. Nos baisers, nos carresses comme je te prendrais ou comment tu me chevaucherais. Tes cris de plaisir, ton visage qui se crispe quand tu jouis.. Tout.
Je t’expliqua que ça allait être ton tour d’être provoquée, qu’ainsi nous serions sur un pied d’égalité. Je te promis de faire monter ton désir jusqu’à ce que tu me supplies de venir en toi. Nous allions rendre cette nuit folle et mémorable.
Avec ton regard malicieux tu m’interrogeais : “Ah oui? Et comment comptes tu t’y prendres?”
“Comme toi” Je te répondis que tu m’avais inspirée comme toujours.
Je commença à t’expliquer le principe du jeu. Nous allions rejouer d’abord toutes les photos que tu m’avais envoyé mais je n’interviendrais pas. Ce seront tes doigts sur toi. Tu t’émoustillera, t’excitera, te provoqueras jusqu’à ce que tu trembles aussi du désir que je te fasse l’amour. Et là seulement là, je me joindrais à toi.
Je ne m’éloigna pas et resta au dessus de toi à quatre pâtes quand je te dis de commencer à imaginer mes lèvres sur les tiennes, ma langue qui danse avec la tienne, ma main qui glisse sur ton cou. Tes doigts me remplaçaient tu l’éffleurais alors que j’étais à quelques centimètres, tu sentais la chaleur de mon corps.
Je t’expliqua comment je carreserais tes seins. D’abord dessous, tout en douceur, avant de remonter sur leur rondeur progressivement. Ta poitrine se gonflait sous l’excitation. Quand je te dis que j’embrasserais leur bout, tu te pinças légèrement le téton. Tu laissas échapper un petit hmmm en te mordant la lèvre.
Cela ne me laissait pas de glâce non plus, je m’étais tellement gonflée que part moment tu sentais le bout de mon sexe froler le tien. On trichait un peu alors que tu me repoussas en me demandant la suite…
A suivre…
Etrebil
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